L’affaire remonte à la création d’un groupe WhatsApp par l’étudiant, dans lequel des personnalités ont été ajoutées sans leur accord. Dès qu’elles ont découvert leur présence dans ce groupe inapproprié, elles l’ont quitté. Cependant, peu de temps après, elles ont constaté qu’elles avaient été réintégrées par le même individu. Face à cette situation, des plaintes ont été déposées auprès de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET), entraînant ainsi l’interpellation de l’étudiant en question, qui était l’administrateur du groupe incriminé.
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À la suite de son audition par la CRIET le jeudi 14 mars dernier, l’étudiant a été placé sous mandat de dépôt en attendant son jugement, qui devrait intervenir dans un avenir proche. Cette affaire met en lumière les défis posés par l’utilisation irresponsable des réseaux sociaux et souligne l’importance de respecter la vie privée et la dignité des individus dans le cyberespace.