À peine investie à la tête de la Chambre de commerce de Gatineau, Iseline Gandaho a déjà posé les jalons d’une collaboration étroite avec les autorités publiques. Le 26 août 2024, elle a eu une rencontre avec la mairesse de Gatineau.
Dans une interview accordée à Echo du Territoire Iseline Gandaho a déclaré avoir abordé son nouveau mandat avec optimisme, bien entourée et prête à relever les défis qui se présenteront.
Depuis son élection à la présidence de la Chambre de commerce de Gatineau, celle qui mise sur une collaboration saine et efficace avec les autorités publiques, a entamé avec dynamisme, une série de visites officielles pour consolider les relations entre l’institution qu’elle dirige et les autorités locales. Le 26 août 2024, elle a été reçue en audience par la mairesse de Gatineau. Cette rencontre avait pour but de jeter les bases d’une collaboration fructueuse entre la Chambre de commerce et la municipalité.
“Il est essentiel d’établir des relations conviviales avec les autorités publiques afin de créer un pont lorsque des enjeux concernant la Chambre de commerce émergent”, a déclaré Iseline Gandaho au micro de la chaîne Echo du Territoire. La réunion avec la mairesse a notamment porté sur des sujets clés, tels que les besoins et doléances des membres de la Chambre de commerce, que Eseline Gandaho a relayés avec assurance. “Elle a été très à l’écoute et je suis confiante qu’elle agira pour le bien des entrepreneurs de la région”, a-t-elle ajouté.
Au-delà de cette première prise de contact, Eseline Gandaho a également discuté avec le ministre du Travail pour exprimer sa volonté de travailler en étroite collaboration avec le gouvernement sur des dossiers touchant le milieu des affaires. Cette approche proactive réflecte son engagement à défendre les intérêts des entrepreneurs de Gatineau et également rechercher des solutions aux difficultés que ces derniers rencontrent.
Originaire du Bénin, Iseline Gandaho n’a pas manqué de revenir sur son parcours international. “Je suis née et j’ai grandi au Bénin, et même si le Canada est désormais ma terre d’accueil, je n’ai jamais pris la décision définitive de ne pas rentrer au Bénin.” Ses responsabilités professionnelles au Canada l’ont retenue, mais elle garde des liens étroits avec son pays natal, où elle se rend régulièrement.