La vague de violences déclenchée dans de nombreuses villes de France par la mort du jeune Nahel, tué par un policier mardi à Nanterre lors d’un contrôle routier, a commencé à s’estomper dans la nuit de samedi à dimanche.
Cinq jours après la mort de Nahel, sa grand-mère s’est exprimée ce dimanche 2 juillet sur BFMTV, dans un appel téléphonique, pour demander l’arrêt des casses.
“Les gens qui sont en train de casser, je leur dis ‘Arrêtez’ ! Qu’ils ne cassent pas les vitrines, les bus, les écoles. On veut calmer les choses”, a-t-elle déclaré
Elle estime que certains émeutiers “ont pris la mort de son petit-fils Nahel comme prétexte pour s’attaquer aux biens publiques”.
Les tensions déclenchées par la mort de l’adolescent, tué par un policier mardi à Nanterre lors d’un contrôle routier, ont déclenchées une vague destructrice de biens publiques dans plusieurs villes Françaises.
Selon Gérald Darmanin, les violences auraient été moins importantes dans la nuit du samedi à dimanche.