Le Bénin et le PNUD ont tenu, vendredi 29 août 2025, la revue semestrielle du Pilier 2. Il est consacré à l’État de droit, à la démocratie, à la gouvernance et à la cohésion sociale. Une rencontre pour faire le point des progrès, des défis et des perspectives du partenariat.
Bénin – PNUD : une revue semestrielle pour améliorer la démocratie et la cohésion sociale
Le Bénin et le PNUD ont évalué vendredi 29 août, l’évolution de la gouvernance, de la démocratie et de la cohésion sociale. En effet, la revue, selon le compte rendu publié par le ministère du travail, a réuni plusieurs cadres compétents. Il s’agit des Directeurs nationaux des projets, les coordonnateurs, les points focaux et les partenaires techniques. Parmi eux, des représentants du système des Nations Unies.
Les participants ont passé en revue l’état d’avancement des projets, l’exécution financière. Et aussi, les progrès mesurés à travers les indicateurs, ainsi que les recommandations émises lors de la précédente session. L’objectif était clair : mesurer l’impact concret des interventions et identifier les obstacles à lever pour renforcer les résultats.
Quelle est la position du PNUD sur les réformes en cours ?
Prenant la parole à l’ouverture des travaux, la Représentante résidente adjointe du PNUD, Manon Bernier, a salué les réformes engagées par le Bénin. Elle a réaffirmé le soutien constant de son institution au processus démocratique.
« Le Bénin a fait des choix ambitieux en matière de réformes. Le PNUD restera aux côtés du gouvernement pour accompagner cette transformation dans le respect des principes d’inclusion, de redevabilité et d’impact durable », a-t-elle déclaré.
Quelle est la vision du gouvernement béninois ?
Au nom de la ministre du travail, Adidjatou Mathys, le Directeur adjoint de cabinet, Jules Yehouénou, a relevé l’importance de cette évaluation. Il a salué la mobilisation des parties prenantes et rappelé la volonté du gouvernement de renforcer la transparence et l’inclusion. « Cette revue témoigne de notre engagement collectif à construire une gouvernance transparente, efficace et inclusive », a-t-il affirmé.