Dans une note datée du 11 mai, le ministère nigérien des Transports et de l’Équipement a annoncé que seuls les véhicules immatriculés au Niger et au Togo seraient autorisés à enlever le fret nigérien du port de Lomé. De plus, les véhicules immatriculés au Burkina Faso, au Ghana et au Mali pourront également effectuer cette opération en cas de forte demande, sous réserve d’une autorisation préalable du ministère des Transports et de l’Équipement.
Cette décision marque une escalade dans les tensions entre le Bénin et le Niger, deux pays voisins d’Afrique de l’Ouest.