Bien que des rumeurs initiales aient suggéré un aspect potentiellement “nucléaire” de ces armes, le porte-parole n’a pas validé ces allégations. Il a souligné que cette arme n’avait pas encore été déployée et ne représentait pas une menace immédiate, étant limitée à causer des dommages dans l’espace plutôt qu’à attaquer directement sur Terre.
Malgré cette assurance, l’administration américaine prend cette menace au sérieux. Jake Sullivan, conseiller à la sécurité nationale de la Maison-Blanche, s’est rendu au Congrès pour discuter du sujet avec un groupe restreint d’élus américains ayant accès à des informations sensibles. Antony Blinken, chef de la diplomatie américaine, a également annoncé que Washington aborderait prochainement cette question avec ses alliés les plus proches.
Du côté de Moscou, la nouvelle n’a initialement pas suscité de réaction officielle. Cependant, le gouvernement russe a finalement qualifié les informations de malveillantes et infondées, les percevant comme des tentatives de déstabilisation du Congrès.
En parallèle, la question de l’aide américaine de 60 milliards de dollars à l’Ukraine demeure bloquée au sein du parlement américain. Cette situation pourrait être perçue comme un levier potentiel pour débloquer ces aides financières et militaires promises à Kiev, mettant en lumière les enjeux diplomatiques complexes entre les deux nations.