Vingt prévenus ont été condamnés à 12 mois de prison assortie de sursis pour leur implication présumée dans des faits de détention et usage de chanvre indien ou substances psychotropes.
Le ministère public avait requis une peine plus lourde, demandant 24 mois de prison dont 12 fermes pour l’ensemble des accusés. Cependant, le juge a opté pour des condamnations avec sursis, prononçant une peine de 12 mois assortie de sursis pour 20 des prévenus.
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Seul un individu a reçu une peine de 12 mois de prison, dont 3 fermes. Cette décision s’explique par son antécédent judiciaire, ayant déjà purgé une peine de prison à la prison civile de Lokossa. L’avocat des accusés, Maître Ba PARAPE, a souligné que le juge ne pouvait plus prononcer une peine de sursis dans ce cas spécifique.