Le mouvement “Le Bénin Conscient” dirigé par Houssou Victor Adandé annonce son soutien à la candidature du Ministre d’État Romuald Wadagni. Depuis le Canada, son fondateur appelle à une mobilisation citoyenne pour une gouvernance « lucide et républicaine ».
Le mouvement “Le Bénin Conscient” se range derrière Romuald Wadagni pour la présidentielle de 2026
À moins d’un an de l’élection présidentielle au Bénin, les soutiens se structurent autour de Romuald Wadagni, candidat désigné par la majorité présidentielle. Depuis Rivière-du-Loup au Québec, ce lundi 8 septembre 2025, le fondateur du mouvement Le Bénin Conscient, Houssou Victor Adandé, a formalisé son soutien à la candidature de l’actuel Ministre d’État et ministre de l’Economie et des Finances du Bénin.
Pour l’enseignant-chercheur et acteur de la société civile, le profil de Romuald Wadagni incarne une nouvelle génération de leadership caractérisée par la rigueur, la sobriété, la vision et un profond attachement républicain. « Ce soutien n’est ni partisan ni opportuniste, mais le fruit d’une conscience politique assumée et d’une volonté de contribuer à une gouvernance lucide », a-t-il précisé dans le communiqué de presse parvenu à Africaho.
Houssou Victor Adandé entend mobiliser ses réseaux, notamment à travers le Réseau FOP-ADANDÉ, pour accompagner la dynamique portée par le candidat. L’intellectuel souhaite également confier à Romuald Wadagni le parrainage de l’œuvre « L’Humanité en Éclats », en cours de publication, afin de diffuser « le message de conscience » au-delà des frontières.
Un géant meeting annoncé en faveur de la candidature de Romuald Wadagni
« À mon retour au pays, un grand meeting de soutien sera organisé pour structurer notre contribution à la campagne présidentielle et au projet de société TDC », a annoncé Houssou Victor Adandé qui précise que « ce sera un moment de rassemblement républicain, d’unité nationale et de lancement officiel du mouvement Le Bénin Conscient ».
Par ailleurs, il a appelé les citoyens, la diaspora, les intellectuels et la société civile à « entrer dans ce temps de conscience ». Pour lui, « le Bénin n’a pas besoin d’un sauveur, mais d’une conscience collective ». Il salue également la position de l’ancien président Nicéphore Dieudonné Soglo, qui a plaidé pour la réconciliation nationale, un message qu’il juge convergent avec sa démarche.