CAN 2024 : Le Nigeria survit à une bataille épique et se qualifie en finale après un duel intense avec l’Afrique du Sud

Africaho
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Le scénario du match entre le Nigeria et l’Afrique du Sud a offert une cascade d’émotions, rivalisant avec le précédent face à la Côte d’Ivoire. Ces rencontres incroyables ont marqué le stade de Bouaké, qui peut désormais se vanter d’avoir été le théâtre des deux matches les plus captivants de la CAN 2024, avec rebondissements, tension dramatique et suspens jusqu’aux tirs au but.

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La déception et l’excitation ont caractérisé le parcours des Nigerians en quelques minutes. Alors qu’ils croyaient avoir scellé leur avance avec un deuxième but de Victor Osimhen, la VAR a transformé cette joie en égalisation de Mokoena. Toutefois, le destin a réservé une surprise, avec Tehobo Mokoena ratant un tir au but crucial, propulsant ainsi le Nigeria en finale.

Revenons à la 86e minute, où Osimhen pensait avoir marqué le but de la victoire après avoir provoqué un penalty. Cependant, la VAR est intervenue pour signaler une faute dans la surface nigériane sur Percy Tau, accordant ainsi un penalty que Mokoena a converti à la dernière minute du temps réglementaire (90e).

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Le Nigeria, initialement en tête grâce à Victor Osimhen, a vu la confiance changer de camp pendant la prolongation. Les Sud-Africains, sous la direction de l’entraîneur belge Hugo Broos, ont montré une présence offensive dangereuse, mettant à l’épreuve la défense nigériane réputée. Malgré un changement tactique de 4-4-2 à 3-4-3, les Super Eagles ont été bousculés, ne réussissant qu’à créer une véritable occasion, une tête d’Osimhen frôlant le cadre (44e).

La prolongation a vu les deux équipes se montrer plus prudentes, avec le remplacement de l’indispensable Osimhen par Terem Moffi (110e), ce qui a conduit à l’expulsion de Grant Kekana. Aux tirs au but, le gardien sud-africain Ronwen Williams, héros du précédent tour, n’a malheureusement pas arrêté de tirs nigérians. Le gardien du Nigeria, Stanley Nwabali, avec deux arrêts cruciaux, a permis à Iheanacho d’inscrire le penalty de la victoire des Super Eagles, suscitant une joie immense chez les Nigérians.

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