Connu pour ses prises de position sur WhatsApp, Rémy Gbambakpo est désormais libre de ses mouvements. Il avait été arrêté le samedi 20 avril dernier dans le cadre d’une affaire de présumé harcèlement et incitation à l’insurrection.
Présenté au procureur de la CRIET, Rémy Gnambakpo a été relaxé, mais reste sous convocation, selon nos informations. À 73 ans, il est poursuivi pour ses prises de position présumées dans une affaire liée aux propos attribués à Joseph Djogbénou, président de l’Union Progressiste le Renouveau, sur une supposée candidature à la présidentielle de 2026.
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Les propos publiés par le journal « Aujourd’hui au Bénin », affirmant que le président de l’Union Progressiste le Renouveau serait candidat « même sous le crépitement des armes à la présidentielle de 2026 », ont été qualifiés de diffamatoires par le président de l’UP le Renouveau. Ce dernier a promis des poursuites judiciaires à cet égard.
Jeudi, l’Office central de répression de la cybercriminalité (OCRC) a également appréhendé le promoteur du journal incriminé, qui n’avait pas d’existence légale. Les développements dans cette affaire sont à suivre de près.