Niger : les condoléances du Général Tiani au peuple burkinabè suite à l’attaque de Barsalogho

Touré Soulémane
Lecture : 2 min

Le Général Abdourahamane Tiani a présenté ses condoléances à son homologue Ibrahim Traoré, suite à l’attaque terroriste perpétrée samedi 24 août 2024 à Barsalogho, une région du centre-Nord du Burkina Faso. 

Ad imageAd image

Le Président du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie (CNSP), Abdourahamane Tiani a présenté ses condoléances au peuple burkinabè endeuillé par une nouvelle attaque terroriste, samedi 24 août 2024, à Barsalogho au centre – Nord du pays. C’est à travers une lettre ouverte que le président de la transition du Niger exprimé ses compassions à son homologue Burkinabè Ibrahim Traoré.

Dans sa lettre, le Général Tiani a indiqué avoir ‘’appris avec une profonde affliction l’attaque lâche et barbare perpétrée par des hordes terroristes contre vos Forces de Défense et de Sécurité ainsi que d’innocentes populations civiles à Barsalogho, le samedi 24 août 2024, ayant malheureusement occasionné plusieurs morts et des blessés’’.


LIRE AUSSI : France : Emmanuel Macron réagit à l’arrestation de Pavel Durov, patron de Telegram

Lire aussi :  Présidentielle au Ghana : John Mahama élu, le candidat du pouvoir reconnaît sa défaite

En effet, à cette douloureuse circonstance, le chef de l’Etat a, au nom du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie, du Gouvernement, du peuple Nigérien et en son nom propre, adressé au Capitaine Ibrahim Traoré, au Gouvernement et au peuple Burkinabè frère ainsi qu’aux familles éplorées, ses sincères condoléances et sa profonde compassion.

‘’Le peuple Nigérien est toujours solidaire du peuple Burkinabè frère dans toutes les épreuves qu’il vit et sa détermination ne faillera point dans notre lutte commune pour la souveraineté véritable et le développement intégré de notre Confédération AES’’, a-t-il indiqué selon l’ANP. Rappelons que les populations civiles aidaient les forces de défense et de sécurité à creuser des tranchées pour protéger les postes de sécurité, lorsque des hommes armés ont ouvert le feu sur eux, tuant ainsi une centaine de personnes.

Partager cet article
Laisser un commentaire

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *